Des nanotubes à l'intérieur des photovoltaïques vivants
Pour la première fois, des scientifiques de l’EPFL sont parvenus à faire en sorte que des bactéries acceptent spontanément des nanotubes de carbone fluorescents. Cette avancée ouvre la voie à de nouvelles applications biotechnologiques pour les procaryotes, comme le suivi des bactéries dans le proche infrarouge et les «photovoltaïques vivants», des dispositifs qui produisent de l’énergie grâce à des bactéries qui captent la lumière.