Sciences de la vie

Des scientifiques sous la houlette de l’EPFL ont réussi à greffer des cellules de cancer du sein sur des souris. Cela leur a permis d’étudier in vivo l’interaction entre les récepteurs d’œstrogènes et de progestérone, laquelle entrave les traitements hormonaux. Leurs découvertes révèlent qu’il peut s’avérer nécessaire d’adapter le traitement endocrinien à chaque patiente et que la suppression de l’expression des récepteurs de progestérone peut être une option thérapeutique.

Des scientifiques de l’EPFL et de l’Institut Karolinska ont testé et confirmé un protocole de développement de cellules souches embryonnaires humaines en cellules rétiniennes afin de traiter les maladies oculaires telles que la dégénérescence maculaire liée à l’âge.

Des scientifiques de l’EPFL ont découvert qu’une molécule anticancéreuse peut également améliorer la mémoire. Elle aide la cellule à lire des gènes impliqués dans l’apprentissage. Le mécanisme épigénétique est démontré chez la souris.

Des scientifiques de l’EPFL ont mis au point un modèle de jumeau numérique de la mouche à vinaigre, Drosophila melanogaster, qui reproduit les mouvements de l’insecte de manière réaliste. Le jumeau constitue un grand pas vers la rétro-ingénierie du contrôle neuro-mécanique du comportement animal et le développement de robots bioinspirés.

Des scientifiques de l’EPFL théorisent la possibilité de traiter la leucémie lymphoïde chronique dans une optique de médecine personnalisée, en régulant l’expression d’un gène précis connu pour sa capacité «anti-tumorale».

Des scientifiques de l’EPFL montrent que la production de molécules de graisse par une cellule peut être un facteur clé pour déterminer ce que deviendra cette cellule.